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                   Quand la flamme embrâsait la nue,
                   
                  
                  C'est pour vous que Balkis émue
                   
                  
                  Implorait le ciel rigoureux! 
                  
                  Dans mes regards vous pouvez lire, 
                  
                  Vainqueur si j'ai pu vous sourire 
                  
                  Je vous console malheureux. 
                  
                    
                  
                  Pour guérir votre âme
                  blessée, 
                  
                  Cette main, par vous reponssée,
                   
                  
                  De mon coeur écoute la voix! 
                  
                  Vaines grandeurs je vous oublie, 
                  
                  Le sort de leur joug nous délie!
                   
                  
                  Je vous élève au rang des
                  rois.
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